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La solution contre la dictature sanitaire

Pour sortir de la triple crise sanitaire, économique et sociale résultant de la covid il faut en comprendre les causes et mécanismes.

I - La génèse

L’épidémie venue de Chine a fait de très nombreuses victimes parmi nos concitoyens les plus vulnérables (seniors, malades ou fragilisés par des comorbidités).

1. La crise sanitaire : Elle est née de l’impossibilité pour la population de pouvoir se protéger (absence de masques) et de la très rapide saturation des moyens hospitaliers.

Je ne retiens que les faits sans aborder le problème des erreurs commises et responsabilités.

2. La crise économique : Elle ne résulte pas de la perte de travailleurs parmi les victimes puisque la plus grande partie sont des retraités. Elle résulte exclusivement du traitement de la crise sanitaire effectuée par les pouvoirs publics.

3. La crise sociale : Elle résulte elle aussi uniquement de la façon dont le pouvoir exécutif à géré la crise sanitaire

Les crises économiques et sociales ne sont donc que la conséquence des erreurs commises dans la traitement de la crise sanitaire.

D’autres erreurs commises ensuite dans le traitement des crises économiques et sociales ont empêché de résoudre la situation, et pire l’ont aggravée.

L’État a ainsi créé un cercle vicieux dans lequel chacune des actions ou décisions inappropriées maintient ou accentue le drame que vivent nos concitoyens.

II – Les solutions

L’épidémie est à l’origine de tout. C’est en la traitant de façon isolée, sans interférence des conséquences économiques et sociales que l’on pourra rompre ce cercle vicieux. Les effets indésirables disparaîtront alors d’eux-mêmes.

1. solution pour le sanitaire

Ce que l’on sait du virus, et sur lequel il n’y a aucun désaccord est qu’il n’est pas aérien et ne peut se transmettre que d’humain à humain. Les personnes contaminées servent de moyen de déplacement au virus et lui permettent de se propager. Le virus n’a donc pas pu venir de Chine jusqu’en France par ses propres moyens. Il a été introduit sur le territoire par des personnes porteuses du virus venues de l’étranger (de Chine ou d’ailleurs)

La solution, mise en place trop tardivement, consistait tout simplement à FERMER les frontières de façon parfaitement étanche.

L’épidémie n’aurait jamais due arriver en FRANCE

Si le pouvoir en place avait fermé les frontières dès qu’il a eu connaissance du risque épidémique en

décembre 2019, les crises n’auraient pas eu lieu et nous serions tous en train de vivre en autarcie dans une France à huis-clos mais dans des conditions normales, sans masque comme de nombreux autres pays.

Dès lors que l’épidémie est entrée et se propage il faut appliquer des solutions complémentaires mais la condition première de fermeture intégrale des frontières reste primordiale pour ne pas continuer d’importer de nouveaux spécimen du virus.

- Puisqu’on sait que le virus se transmet entre humains très proches géographiquement (toux, éternuement, parole, respiration, etc.) ou établissant un contact, il faut maintenir les individus à distance les uns des autres. C’est ce qu’on appelle la distanciation sociale. Mais quelle distance ?

Les pays qui l’appliquent ne sont pas tous d’accord. Ce qui est sûr c’est que la distance de 1 m retenue par la France est totalement inutile.

Lancée au doigt mouillé par quelque médecin influent, cette distance a fait depuis l’objet d’études, dont celle du très sérieux MIT qui est une référence en matière d’expérimentation ; en l’occurrence le déplacement dans l’air des gouttelettes contenant le virus. Dans des conditions de laboratoire et selon a force de l’expectoration ou éternuement, la distance varie de 4 à 6 m. Pour peu qu’il y ait un léger courant d’air (air conditionné) la distance peut atteindre 10 m et plus.

Cela ne signifie pas que la gouttelette tombe ensuite à terre et elle peut rester en suspension stationnaire durant plusieurs heures. Il en résulte que dans les endroits clos la présence de personnes porteuses du virus peut entraîner une accumulation importante en suspension dans l’air et donc contaminer d’autres personnes présentes non porteuses.

On sait aussi depuis le début de l’épidémie, que la majorité des personnes porteuses sont asymptomatiques. Il est donc difficile de demander aux seuls porteurs du virus de se tenir à distance puisqu’on ne les connaît pas et qu’ils ne se savent pas eux-mêmes infectés.

Dans ces conditions une première solution consiste à porter un masque protecteur. D’abord décrié voire accusé d’être dangereux, il est aujourd’hui admis par tous.

Il y a cependant deux problèmes :

. le premier est que les masques ne sont pas totalement imperméables sinon nous ne pourrions plus respirer. Il persiste donc un très faible risque de l’ordre de 2 % à 15 % selon les masques (notamment artisanaux)est désagréable à porter.

Mais si deux personnes qui sont proches l’une de l’autre portent toutes deux un masque le risque approche zéro (de 0,04 % à moins de 2%).

Le second problème est que ce masque est désagréable à porter ; Les pouvoirs publics ont alors ignoré le principe de précaution, et adopté un comportement laxiste en n’osant pas utiliser la coercition pourtant nécessaire en situation d’urgence sanitaire.

Cette solution pour être la plus efficace possible doit conduire au port du masque, par tous les individus, en tous lieux (même en plein air) et en toutes circonstances.

Cette solution est presque parfaite mais ne garantit pas une reprise plus tard.

La meilleure solution pour stopper la propagation du virus est d’imposer une distanciation individuelle et permanente jusqu’à extinction du virus, ce qui ne peut être réalisé que par un confinement total jusqu’à disparition du virus.

La question qui vient tout de suite à l’esprit est : Combien de temps devra durer ce confinement ?

On sait depuis le début que le virus ne peut vivre à l’intérieur de l’organisme que pendant un délai moyen de 14 jours mais qui peut aller jusqu’à 28 jours, voire 32 jours (record absolu constaté),

Si la totalité de la population reste confinée , le virus ne pourra plus se propager et s’éteindra naturellement, mettant fin à l’épidémie. Les personnes déjà atteintes au premier jour du confinement ne pourront transmettre le qu’aux autres membres du foyer confinés avec elles.

Les porteurs étant contagieux dès le lendemain de l’infection les autres membres du foyer seront contaminés très vite et il suffit de porter le délai maximum constaté de 32 jours à 35 jours pour fixer la durée minimale de confinement. Si on veut être prudent on peut prendre une marge de quelques jours et rétablir la norme ancestrale de 40 jours qui a donné son nom à cette pratique : la « quarantaine »

Passé 40 jours il n’y aura plus de virus sur le territoire et la vie normale pourra être rétablie (frontières toujours imperméables)

Il conviendra alors de procéder au déconfinement avec précaution en utilisant la méthode du quadrillage pour s’assurer qu’il n’y a aucun nouveau départ sur le territoire. Dès le début de ce confinement les masques et autres protections ne seront plus utiles, tous pourrons se déplacer normalement,t et reprendre leurs activités antérieures.

C’est la seule solution qui permettra de mettre fin aux 3 crises en un temps très court.

Cette solution a été appliquée de mars à mai 2020 et a pourtant échoué ; pourquoi ?

Et pourquoi est-elle tant décriée, y compris par une large partie du corps médical ?

a) Le confinement de mars dernier a été réalisé de manière lamentable. Alors qu’il doit être parfaitement hermétique et donc s’appliquer à tous, le gouvernement à multiplier les fuites en instaurant des autorisations de non respect du confinement (« attestations ») que chacun pouvait s’accorde librement et presque jamais contrôlé. Ensuite en enjoignant les travailleurs à continuer à se rendre sur leur lieu de travail lorsqu’ils ne pouvaient pas utiliser le télé-travail ; la grande majorité donc.

Le pouvoir a donc volontairement ménagé de nombreuses voies de circulation au virus lui permettant de continuer son œuvre en lui livrant par laxisme de trop nombreuses proies.

Il est pourtant incontestable que ce confinement mal exécuté à pourtant produit un net recul de l’épidémie, prouvant ainsi son efficacité.

Il est évident que durant ce confinement certaines fonctions individuelles ne peuvent être suspendues, comme s’alimenter et se soigner, mais cela ne justifie pas ce qui a été fait. Seules quelques services doivent être maintenus et organisés (secteurs de l’alimentation, des soins, de la sécurité, des énergies, des transports et des communications) Tous les autres peuvent être mis en veille.

b) pourquoi le corps médical ne réclame-t’il pas un confinement total et imperméable ?

L’attitude du corps médical et surtout sa division devant la situation, est inadmissible et a déconsidéré cette profession au moment même où la population avait besoin d’être rassurée.

2 causes sont apparues évidentes.

- la médecine a pris ces dernières décennies une évolution l’éloignement du serment d’Hippocrate. La statistique est entrée dans les meurs jusqu’à admettre des quotas d’échecs. La préoccupation des mandarins des hôpitaux occupant les plateaux des médias n’a pas été de stopper l’épidémie et éradiquer le virus, mais seulement de tenir le niveau de l’épidémie en dessous- du seuil de capacité des établissements de soins.

Les termes utilisés étaient « réduire » ou « contrôler » la propagation et jamais stopper ou éradiquer.

- la seconde cause tient à une évolution du rôle des médecins hospitaliers qui ont été contraints d’intégrer des paramètres de gestion dans leur activité de mandarin et se croient aujourd’hui compétents et investis d’une mission de soutien à l’économie.

C’est une erreur fatale de leur part.

Ils doivent s’en tenir à leur connaissance et leur serment de soigner les gens et rien d’autre.

Et cela d’autant plus que tout ce qui est prétendu concernant l’état de l’économie de notre pays est faux et je le détaille ci-après.

2. la solution économique

Ceci amène à l’affirmation selon laquelle l’épidémie mettrait l’économie en danger. Le pouvoir en place s’obstine à vouloir faire tourner l’économie malgré tout, ce qui le conduit à refuser la solution de confinement total.

Mais ces décisions n’ont pour effets que de faire perdurer l’épidémie et freiner l’activité économique jusqu’à mettre en difficulté les entreprises.

Un nouveau cercle vicieux est créé.

40 jours d’arrêt complet des secteurs non indispensables de l’économie sont parfaitement supportables, surtout si cette mise en veille est accompagnée des dispositions que le gouvernement montre ne pas connaître.

Pour maintenir l’activité le confinement est proscrit, ce qui génère une aggravation de la crise sanitaire, ce qui oblige alors l’état à prendre des décisions minimalistes qui affectent le niveau de fonctionnement des entreprises et les entraînent vers le fond.

La solution économique consiste pour partie à stopper complètement l’activité de la totalité des secteurs sauf ceux déjà cités qui sont indispensables pour supporter le confinement.

Pour rappel :

- le secteur de l’alimentaire pour des raisons évidentes, sachant que personne ne devant sortir pour s’approvisionner, un service de livraison à domicile par des livreurs protégés sera mis en place comme cela a été fait avec succès en Chine .

- le secteur de la santé pour des raisons tout aussi évidentes. Les personnels devant se rendre dans les établissements de santé (hôpitaux, EPADH, accompagnateurs de vie, etc.) devront également être protégés.

- Le secteur de la sécurité comprenant, à côté de l’armée et les services de police, les services de dépannage d’urgence (incendie, inondation, panne électricité, etc.)

- le secteur de l’énergie et de l’eau,

- le secteur des transports tant pour le fonctionnement du secteur de l’alimentaire que pour celui des personnes tenues de se déplacer pour faire fonctionner les secteurs ci-dessus

- le secteur des communications pour maintenir le lien social indispensable au bon déroulement du confinement.

Les activités en télé-travail pourront évidemment être réalisées.

Envisager l’arrêt quasi total, même provisoire, de l’activité économique est impensable pour nos dirigeants, car ils sont restés bloqués sur leurs croyances anciennes du fonctionnement de l’économie. Le système en vigueur s’appuie sur une théorie dominante dite néolibérale.

Nous nous doutons tous qu’elle n’est pas valable, ce qui expliquerait pourquoi depuis un demi siècle les conditions de vie de la très grande majorité des français se détériore, les dettes s’envolent et les services publics s’étiolent.

Depuis 2015 nous savons que ce n’est pas qu’une impression mais une réalité que des mentors de l’économie mondiale ont constaté. La plupart d’entre eux reconnaissent aujourd’hui leur erreur et condamne le système que l’Élysée, Matignon et Bercy continuent de pratiquer.

Une nouvelle théorie, la MMT, portée par les démocrates américains et Joe BIDEN est venue corriger la théorie dominante, ce qui devrait modifier le système actuel dans très peu de temps s’il est élu Président des USA.

Nos dirigeants nous affolent en nous laissant croire que l’explosion de la dette suite au Covid va plomber l’économie et que nous devrons la rembourser plus tard.

La nouvelle théorie dit au contraire que la dette n’est pas un problème. La dernière théorie apparue (la TMM 2.0 ou théorie du Nouvel Ordre Économique) dit même que toute dépense de l’état retourne dans les caisses de l’état sous forme de taxes ou impôts.

Les centaines de milliards ainsi engagés vont être transformés en ressources pour l’état au gré des échanges commerciaux qui s’effectueront à l’intérieur de pays avec la monnaie injectée. Ainsi nous disposerons de l’argent suffisant sans avoir à augmenter les impôts - enfin si nous devions rembourser la dette.

Mais la dette vient du fait que ces centaines de milliards vont être empruntés donnant ainsi l’impression que la dette explose. Lorsque l’état aura récupéré les sommes correspondantes la dette disparaîtra… sauf les agios. Ce sont ces agios qui s’accumulent dans la dette car ils ne peuvent pas être remboursés. C’est pourquoi les théories modernes préconisent de rendre à l’état le pouvoir de créer la monnaie afin de ne pas avoir à l’emprunter. Dès lors il n’y aura plus de dette nationale.

Actuellement le système en place ne le permet pas mais il est possible d’arriver au même résultat si la BCE (banque centrale européenne) rachète les emprunts correspondant et les annulent. Elle peut le faire et l’a déjà fait à petite échelle. De plus nous empruntons actuellement à taux négatifs donc plus nous empruntons plus le pays s’enrichit.

Il est donc tout à fait possible, et même souhaitable, d’accroître les dépenses de l’état pour qu’il prenne en charge la TOTALITÉ des pertes des individus et des entreprises dues à l’épidémie.

L’état peut intervenir comme un assureur pour assurer à tous les français le maintien de leurs revenus et prendre en charge toutes les pertes d’exploitation des entreprises venant à échéance durant le confinement.

Le confinement général entraînant l’arrêt d’activité ne met absolument pas en danger l’économie dès lors que l’état indemnise à 100 % les dégâts qui interviendront.

Les entreprises en sortiront indemnes au bout des 40 jours évoqués et pourront reprendre leur activité sans aucune séquelle.

Au lieu de cela l’état agit en demi teinte contraignant le tissu productif et les commerces à ne fonctionner que partiellement. Or cela n’est pas supportable. Les acteurs de la production sont comme les sauteurs à la perche qui ne peuvent pas réaliser leur saut si leur course d’élan perd de la vitesse.

Au lieu de soutenir l’activité, l’état l’étouffe, occasionnant ainsi de nombreuses faillites et fermeture.

La principale mesure de l’état consiste en prêts garantis qui ne font qu’endetter plus encore les entreprises et les condamnent à des lendemains douloureux.

En conclusion : l’économie ne sera pas en danger si elle est stoppée totalement pendant 40 jours avec indemnisation de l’état à 100 %.

EN AUCUN CAS L’ÉCONOMIE NE PEUT-ÊTRE UNE RAISON POUR NE PAS CONFINER.

C’est pour cette raison que je dénonce l’attitude criminelle des mandarins de la médecine qui acceptent le sacrifice d’êtres humains sur l’autel de l’économie.

Par son incompétence l’État maintient une obligation d’activité qui empêche l’éradication du virus, fait durer la crise et détruit peu à peu le tissu économique de notre pays avec tout ce que cela entraîne de drames socio-économiques dont le chômage.

Cela me conduit au troisième axe de cette crise ; l’axe social et psychologique

3. La solution sociale et psychologique

C’est peu de dire que le mental des français est en berne.

Les motifs en sont :

a)- la peur qui progresse et qui résulte de l’attitude affligeante du corps médical. Outre le fait qu’aucun ne parle de stopper , le spectacle déplorable de médecins qui se contredisent entre eux (urgentistes, infectiologues ; épidémiologistes,virologues, etc.) a généré une angoisse importante et des scissions dans la population. QUI CROIRE !

La perte de confiance conduit immanquablement à la névrose, voire la psychose chez certains.

b) les mensonges, erreurs et incohérences relevés dans la gestion de l’État. Après les mensonges avérés concernant le dossier des masques , les revirements incessants de décisions et annonces faites depuis février ont discrédité le Président et le gouvernement.

Leur positionnement évident et avoué au profit de l’économie avant celui des individus n’est pas pour rassurer.

Quand aux décisions prises elles sont non seulement incompréhensibles et incontrôlables, mais le plus souvent facultatives. Il est fait appel au civisme des français, c’est à dire à leur bon vouloir.

Peut-on gagner une guerre au bon vouloir des soldats et victimes ?

c) Les résultats constatés qui s’emballent depuis la fin août et attestent d’une reprise virulente de l’épidémie, apportent la preuve de l’incurie du pouvoir en place à tous les échelons.

La très grande majorité des français ne croit plus en la capacité de l’État à contrôler la situation, malgré les saynètes d’autosatisfactions des ministres et les « one man show » Président.

Ces chiffres qui s’affolent font peur !

d) l’insupportable vécu de la reddition Pétainiste du chef de l’état devant le virus, rappelant aux plus anciens des heures sombres de l’histoire de notre pays.

Après avoir évoqué la guerre contre le virus dans laquelle nous étions entrés, puis reconnu que nous avons été débordés, mais avons appris de nos erreurs, le Président Macron a fini par annoncer notre capitulation.

«Les français vont devoir apprendre à vivre avec l’ennemi ». ça y est ; nous sommes occupés par l’armée du Covid.

e) Enfin l’élément le plus anxiogène de tous se résume dans une simple question .

JUSQU’À QUAND ?

Des mois,des années peut-être répondent en cœur ceux qui tiennent les rênes de notre destin. Autant dire qu’ils n’en savent rien et c’est bien cette inconnue qui lamine le mental de la population.

Presque un tiers de nos compatriotes s’accrochent par désespoir à l’idée que peut-être nos dirigeants forment notre seul recours, et ils veulent y croire à l’aune de leur désarroi

MOINS DE 60 JOURS si on applique la solution sanitaire décrite plus haut.

Avec la disparition du virus de notre territoire, plus d’angoisse, plus d’interdit, plus de faillite et chômage, C’est le soleil qui succède à l’orage avec toute la fougue et l’euphorie que cela peut engendrer pour reconstruire ce qui a été détruit.

Pourtant nombreux sont ceux qui refusent toute forme de confinement au motif que cela constitue une atteinte à leur liberté individuelle. Ils oublient que la liberté individuelle doit s’arrêter là où commence la liberté collective.

Soutenir le contraire serait accepter tous les crimes autres actes portant préjudice à autrui ; ce serait croire que l’on peut impunément faire ce que l’on veut dans un espace occupé par un ennemi plus fort que soi.

La liberté des individus ne résiste pas plus devant les catastrophes naturelles. Comment réagiraient-ils ...ou réagiront--ils … si un événement nucléaire survenait libérant de la radio-activité dans l’atmosphère ? Contesteront-ils le confinement vital qu’imposerait la situation pour des années ou décennies peut-être ?

Si le confinement est impératif c’est parce que la situation est exceptionnelle et qu’il est le meilleur moyen tant que le remède n’est pas trouvé

Quant à ceux qui considèrent qu’il ne l’est pas au seul motif qu’il a échoué, je les renvoie au début de ce document, là où j’explique qu’il n’y a pas eu de confinement ; qu’il a été bâclé par des incapables qui l’ont rendu inopérant.

CONCLUSION

La solution à la triple crise sanitaire, économique et psycho-sociale consiste en 3 actions :

Sanitaire : Mise en place d’un confinement total de 40 jours appliquant des modalités en garantissant l’imperméabilité et la réalisation

Ce confinement nécessite d’être préparé les quelques jours qui précèdent, notamment pour identifier les seuls acteurs qui devront intervenir dans les 6 secteurs indispensables, mettre en place la logistique utile et se doter des moyens d’action et de protection indispensables à ces héros d’un temps.

Économique : Durant le confinement l’État prendra à sa charge la totalité des conséquences économiques et financières consécutives résultants de la mise en veille de l’activité.- revenus du travail ; charges fixes et pertes d’exploitations ; suspension de toutes les sanctions financières échéant durant le confinement et interdiction de sanctionner les défauts de paiement trouvant leur origine dans le confinement.

En optant pour les théories modernes de la monnaie et de la gestion budgétaire la solution préconisée ne fera courir aucun risque à notre économie.

Psycho-sociale : Développement d’une logistique de communication permettant de maintenir le lien social et principalement en faveur des personnes fragiles (EHPAD, personnes âgées, personnes hospitalisées , etc

Dès lors que la durée du confinement sera connue il sera plus facile de s’y soumettre.

Dès lors que les français seront assurés de conserver leurs revenus,

Dès lors que les entreprises et travailleurs indépendants seront assurés de ne supporter le coût économique de la crise sanitaire et ne pas être mis en difficultés,

Dès lors que le maximum sera mis en œuvre pour maintenir le lien social à distance, principalement pour ceux qui sont les plus sensibles, (personnes âgées, malades,enfants, etc.),

Alors la population pourra voir le bout du tunnel et retrouver la sérénité souhaitée pour passer cet intermède difficile et sortir indemne au terme du confinement.


 
 
 

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